Les Nouvelles Editions Oswald
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Henry Rider Haggard :
La fille de la sagesse

HENRY RIDER HAGGARD
La fille de la sagesse

Titre Original : Wisdom’s Daughter
Date de parution originale : 1923
Fantastique - SF - Aventure n° : 31
Date de parution chez Néo : Octobre 1983
Traducteur : Henri Demeurisse & Edmond Renoir
Nombre de pages : 216
Couverture : Jean-Michel Nicollet

Jamais réédité en France depuis sa première parution chez Crès en 1926, La fille de la Sagesse constitue le troisième volume du célèbre cycle de « She » qui est probablement le chef-d'œuvre de H. Rider Haggard surtout connu chez nous par Les mines du roi Salomon dont tous les cinéphiles connaissent le film qui en a été tiré. Héroïne des quatre ouvrages du cycle (She, Ayesha ou Le retour de She, La fille de la Sagesse et She et Allan), Ayesha nous raconte ici sa vie dans l'Egypte des Pharaons où elle occupait l'importante fonction de prêtresse d'Isis, fonction qui la plonge au cœur de passionnantes aventures et la met en contact avec toute une galerie de personnages hauts en couleur. Elle rencontrera Kallicrates que, de réincarnations en réincarnations, elle aimera. Et elle découvrira, à travers la puissance du feu sacré, le secret de la vie et de la mort.

Né en 1856 et mort en 1925, H. Rider Haggard. ami intime de Kipling, est l'un des principaux représentants de l'âge d'or du roman d'aventures en Angleterre. Solidement intégré à la société de son époque, il fut en effet deux fois chevalier, économiste, il collabora au Colonial Office, il était également technicien des questions agricoles et juriste. Pour nous, il est d'abord un grand romancier, auteur de nombreux romans d'aventure à résonance ésotérique. Surtout connu en France pour deux cycles : celui d'Allan Quatermain (18 volumes au total dont le quart a été traduit) qui comporte Les mines du roi Salomon et celui de She dont nous commençons avec ce volume la publication intégrale. Rider Haggard sait mêler dans tous ses romans fantastique, aventure, ésotérisme et érotisme en un savoureux cocktail qui ne peut laisser aucun lecteur insensible, même le plus blasé.

Jacques Bergier : « Le cycle de She a des qualités de suspense que trop de romans modernes n'ont plus, par plus d'un point il rejoint Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier. Un souffle épique extrêmement rare dans la littérature contemporaine parcourt tout le récit. »

Henry Miller : « Ayesha, le véritable nom de cette beauté sans âge, cette âme perdue qui refuse de mourir avant le retour sur terre de son bien-aimé, occupe — du moins dans son esprit — une position comparable à celle du soleil dans la galaxie des amants immortels, tous gratifiés du don maudit de l'immortelle beauté... »